jeudi 21 août 2014

BRETAGNE - PAIMPOL - 2014




La gare de Paimpol, est le terminus nord d'une ligne venant de Guingamp, qui est empruntée tant par les TER Bretagne, que par La Vapeur du Trieux.





8 août 2014
FÊTE DES VIEUX GRÉEMENTS à PAIMPOL



Sur le port, Paimpol, cité des Islandais fête les Vieux gréements : plus de 80 vieux gréements :le St Quay, Rigel, Unity of Lynn, Zig Zag, le Mutin, Krog-E-Barz, Pinco, Eulalie, Ar Jentilez, la Vigilance, Winfrith, la Fée de l'Aulne, Pen Azen, Lulu, Tara etc.40 groupes et artistes. Concerts en déambulation et sur 4 scènes (+ de 40 groupes et artistes), expositions (tracteurs anciens, métiers de la mer), animations (démonstrations SNSM, balençoires bateaux, structures gonflables, jeux bretons...), marché artisanal marin, bateau en granit (balade).




 

Histoire de PAIMPOL

.Chronologie
  • 1202 : le comte Alain de Goëlo fonde l'abbaye de Beauport.
  • 1790 : Paimpol et Plounez sont érigées en communes.
  • 1824 : la commune de Lanvignec est rattachée à Paimpol.
  • 1960 : le 26 novembre, les communes de Plounez et Kérity sont rattachées à Paimpol.

Un port morutier célèbre depuis le Moyen Âge

Paimpol est célèbre pour avoir été au début du XXe siècle un des ports de la grande pêche, au large de l'Islande. Pierre Loti en fera un roman en 1886, Pêcheur d'Islande.
L'Europe découvre, dès le début du XVe siècle, grâce au commerce portugais, un poisson : la morue et la consommation croissante de ce produit, entraîne une augmentation considérable des flottilles pour pêcher en haute mer. 
En France même, des navigateurs bretons de Paimpol et de Saint-Malo, des marins normands de Barfleur et de Dieppe, enfin d'autres de La Rochelle et du Pays basque partent pêcher la morue au large des côtes canadiennes et dans le golfe du Saint-Laurent. Tous ces hardis équipages se retrouvent au large d’une grande île qui pourrait être celle de Terre-Neuve, nommée sur les cartes marines de cette époque « île de Bacalaos » (Iles des morues en portugais) en compagnie d'autres vaillants navigateurs portugais, irlandais, anglais, vénitiens et hollandais. La Ligue hanséatique contrôle le marché européen de la morue, et s'enrichit avec ce commerce florissant en tenant fermement les ports de l'Europe centrale (mer du Nord, mer Baltique). En France, dès le début du XVe siècle les marins-pêcheurs français payent la dîme au roi de France sur « les Pescheries des terres neufves ». Il en est de même pour les pêcheurs morutiers bretons qui paient la dîme sur la vente de la morue depuis le milieu du XVe siècle. Cette redevance est consignée notamment dans les actes de transactions établis entre les moines de l’abbaye de Beauport à Paimpol et les habitants de l’île de Bréhat.

La région de Paimpol montre que la Bretagne était autrefois une terre de volcans. À la pointe de Guilben, des roches sombres s'avancent dans la mer. Ce sont ici des pillow lavas (laves en coussins) qui témoignent d'un volcanisme sous-marin très ancien (640 millions d'années). Les spilites qui constituent la masse des pillows renferment des blocs de cornaline rouge. Un peu au nord, la butte de Kerroc'h offre une vue imprenable sur la baie. La tour qui la surmonte a été construite en partie en rhyolite rouge violacé : une lave récupérée un peu plus bas sur le rivage. En contrebas de la tour, en effet, on trouve les traces d'un autre volcanisme paimpolais (de 550 à 530 millions d'années celui-là). Ici, la roche renferme des fiammes formées à la suite d'une nuée ardente. De l'autre côté de Paimpol, au sud vers Sainte-Barbe, se trouvent les volcanites de Plouézec (environ 470 millions d'années).


L'actuelle commune de Paimpol résulte de la fusion, le 26 novembre 1960, des communes de Paimpol, Plounez et Kérity.
Les habitants de Paimpol sont les Paimpolaises et Paimpolais


Construite autour de ses bassins, Paimpol est l'un des principaux ports de pêche et de plaisance donnant sur la Manche.
D'une altitude moyenne de 7 m, la ville qui s'étend sur 23,6 km2 est traversée par une rivière, le Quinic.






















BRETAGNE - PLOUBAZLANEC - DEPART ILE DE BREHAT - 2014

Ploubazlanec

Son nom vient de l’ancien breton ploe qui signifie paroisse et, semble-t-il, de banadl qui désigne le genêt. Le toponyme associe au breton balan (en vieux breton banadl et en moyen breton banazl) le suffixe ek. Bannalec signifie « l'endroit où pousse le genêt ». Le lieu doit probablement son nom du fait que le genêt à balais y poussait en abondance.

Histoire

La paroisse de Ploubazlanec est mentionnée pour la première fois en 1224. En 1824, Ploubazlanec annexe les communes de Lannévez et Perros-Hamon. Au XIXe siècle, l'activité économique est centrée sur la pêche, notamment en Islande à partir du Second Empire. Au cours de la première moitié du XXe siècle, amenés par le biologiste Louis Lapicque et l'historien Charles Seignobos, la commune devient le lieu de villégiature de nombreux scientifiques : Les Curie (Pierre et Marie, puis Frédéric et Irène Joliot-Curie), les Perrin, les Langevin, Marcel Cachin, ou le fondateur de L'Oréal, Eugène Schueller.









BRETAGNE - PERROS-GUIREC & PLOUGRESCANT - 2014



Perros-Guirec est située dans un site naturel protégé, au milieu d'un paysage insolite où la terre et la mer sont parsemées de rochers de granit rose aux formes découpées par le vent.
La ville a deux emblèmes : le macareux, petit oiseau marin au bec coloré dont la plus grande colonie en France niche dans les Sept-Îles, et la fleur d'hortensia particulièrement présente dans la ville et les jardins des particuliers.






Perros-Guirec vit essentiellement du tourisme. Durant l'été, la ville prend une autre dimension tant en activités (sportives, culturelles et économiques) qu'en population (qui se multiplie par 8 environ). Elle est connue comme station balnéaire à caractère familial grâce à quelques belles plages de sable fin (Trestraou et Trestrignel) et à sa côte composée en partie de blocs de granit rose aux formes impressionnantes (la côte de granit rose). En 2007, la ville a été élue meilleure station balnéaire de France dans une enquête réalisée par le magazine Le Nouvel Observateur.
La commune est divisée en plusieurs bourgs (regroupements de maisons). En dehors de la ville elle-même, les deux plus importants sont Ploumanac'h et La Clarté.


Le Sentier des douaniers, sur le site protégé des landes de Ploumanac'h, borde la célèbre côte de granit rose, érodée depuis près de 300 millions d'années, qui offre un paysage surnaturel de chaos granitiques aux formes insolites, s'étendant sur près de 9 km.
La ville comprend trois plages principales. Celle de Trestraou est ensoleillée. S'y trouvent le casino et le Palais des congrès, où ont souvent lieu des expositions. C'est de cette plage qu'on embarque pour visiter les Sept-Îles qui l'environnent, parmi lesquelles « l'Île aux Oiseaux » (l'Île Rouzic), inhabitée, mais où résident goélands et fous de Bassan. La plage de Trestrignel est davantage battue par les vents. Assez sauvage, ce qui fait son charme, elle est comme encaissée au bas d'une côte, et est bordée par la pointe du Château, promontoire rocheux du haut duquel on peut profiter d'une vue panoramique sur les îles, notamment sur l'île Tomé (qui ne fait pas partie des Sept-Îles). La plage de Saint-Guirec se situe quant à elle dans le bourg de Ploumanac'h, le long du sentier des douaniers ; elle est donc une halte facile pour tout randonneur l'été. Face à elle sur la petite île de Costaérès se dresse le château de Costaérès.
Le port de la ville est doté d'un bassin à flot et accueille aussi bien les marins pêcheurs que les plaisanciers. Un bassin de rétention d'eau jouxtant le bassin à flot, le Linkin, anciennement bassin de chasse, a été transformé en aire d'activités nautiques (scolaire ou touristique, selon la saison).


Histoire - Étymologie et origines

  • « Perros » provient des mots bretons « Penn » (cap, bout, extrémité) et « roz » (coteau, colline descendant vers la mer) ;
  • « Guirec » (en français) ou « Gireg » (en breton) est le nom de saint Guirec, un moine venu d'Outre-Manche pour évangéliser les Bretons de l'époque et dont la légende dit qu'il a pris pied sur la plage de Saint-Guirec en Ploumanac'h. On retrouve le nom de ce saint dans le nom de la commune de Locquirec (lok Gireg).
En breton, Perros-Guirec s'écrit Perroz-Gireg (prononciation assez identique à celle du français, mais avec l'accent bien plus prononcé sur le "o" et sur le "i"). Localement on ne parle que de Perroz.

PLOUGRESCANT



BRETAGNE- PLOUMANACH - 2014



Ploumanac'h (prononcé en français [plumanak] ou [plumana]) est un bourg de la commune de Perros-Guirec.

Bâtiments religieux

  • La chapelle Saint-Guirec  : Au XVIe siècle, les moines de l'abbaye de Bégard font construire un édifice de pierre. Cet édifice primitif est restauré aux XVIIIe et XIXe siècles. Il est agrandi une première fois au début du XXe siècle, et à nouveau en 1948 : deux transept sont ainsi ajoutés à la nef d'origine. Cette chapelle de marins abrite, entre autres, un Christ en croix, un saint Julien en tenue de soldat romain, du XVe siècle, une pietà et un saint Sébastien, du XVIe siècle, un saint Yves ainsi qu'un tableau représentant l'arrivée de saint Guirec à Ploumanac'h.
  • L'orato
  • La chapelle Saint-Guirec : Au XVIe siècle, les moines de l'abbaye de Bégard font construire un édifice de pierre. Cet édifice primitif est restauré aux XVIIIe et XIXe siècles. Il est agrandi une première fois au début du XXe siècle, et à nouveau en 1948 : deux transept sont ainsi ajoutés à la nef d'origine. Cette chapelle de marins abrite, entre autres, un Christ en croix, un saint Julien en tenue de soldat romain, du XVe siècle, une pietà et un saint Sébastien, du XVIe siècle, un saint Yves ainsi qu'un tableau représentant l'arrivée de saint Guirec à Ploumanac'h.
















 




L'oratoire de Saint-Guirec :
    Selon la légende, c’est sur cette plage qu’accosta le moine saint Guirec au VIIe siècle. Un oratoire, édifié à même la plage au XIe siècle, perpétue la mémoire du saint.






GOLF DU PERCHE - 2014

FOOD AND GOLF
LA VALLEE DES AULNES
28400 SOUANCE AU PERCHE
TéL. 02 37 29 10 29